D’ailleurs, une nouvelle virée au Maroc fut l’occasion de le tester sur les pistes du Moyen Atlas. Ce fut également pour moi la révélation d’une Transalp ma foi pas si mauvaise que cela en tout terrain, bien meilleure que la XLV 750 précédente. La souplesse et la disponibilité du moteur se révélèrent être précieuses dans les passages difficiles, telles que les traversées d’oueds en crue.
Le V-twin s’avérait d’une fiabilité irréprochable, hormis ces boîtiers électroniques, (j’en userai quatre pendant toute la vie de la moto) et une consommation d’huile lors des parcours autoroutiers, notamment.
Sinon, la routine. Une vidange avec de l’huile de supermarché tous les 7500 kms et c’était tout.
J’eus quand même droit à une petite alerte avec un pignon de chaîne baladeur, provoqué par une arbre de sortie de boîte dont les canelures étaient usées. Egalement, le disque de frein dut être changé car il commençait à être bien mince !
Mais, il est vrai, qu’à raison de 30 000 kms par an parcourus, le totalisateur ne chômait pas et le cap des 100 000 kms était largement dépassé.