J'aime Moto Guzzi, avec ce moteur unique de par sa disposition.
Un V-twin qui en impose visuellement et par la musique qu'il dispense.
Au delà des excellentes innovations, tel le freinage intégral , j'ai souvent pesté devant la désinvolture avec laquelle étaient fabriquées les motos de la marque. C'est d'ailleurs ce manque évident de finition qui m'a incité à ne pas franchir le pas, en 1984, alors que j'envisageais sérieusement d'acheter une V50.
Cette marque italienne reste quand même unique dans la production motocycliste.