Sortie de mon premier roman : L’araignée et les volets de bois

Honda Africa Twin, la porteuse de rêves. - L'essai de Moto Journal

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La photo de couverture du Moto Journal du 10 décembre 2015 et les trois mots qui l'accompagnent: "DANS LE MILLE" mettent dans l'ambiance.

Le journaliste envoyé en Afrique du Sud a aimé!

En effet, le titre de l'article "PROMESSES TENUES " et le court texte qui le suit confirment que Honda ne s'est vraiment pas trompé en décidant de faire revivre l'Africa Twin. "La nouvelle Africa Twin est à la hauteur des attentes qu'elle a suscitées. Elle signe le retour du trail authentique, de la technologie maîtrisée pour simplifier la vie et non la compliquer. Une moto pour faire de la moto, partout et tous les jours. Tout simplement".

J'aurais presque pu m'arrêter là mais je suis curieux de nature et je suis allé voir un peu plus dans le détail les impressions de Michaël Levivier.

Le journaliste reconnait qu'il a brièvement pensé au début de l’essai qu’une puissance supérieure de 20 ou 30 chevaux aurait été la bienvenue, mais que cette pensée l’a quitté après ces deux jours d’essais. Une nouvelle fois, je vois enfin écrit que l’on n’a pas besoin de chevaux en pagaille inutilisables.

Il insiste assez longuement sur le (beau) bruit distillé par le pot d’échappement, en expliquant que le silencieux possède deux chambres chacune étant dédié à un son spécifique (d’où l’expression faire chambre à part….). A priori, le résultat est probant, et il me tarde de le vérifier.

La linéarité de la puissance ne rime pas avec fadeur, puisqu’il a apprécié la façon dont été délivrée la puissance, avec un moteur disponible et très efficace.

En outre, les régimes sont assez bas avec 90 km/h à 32000 tours/minute et 130 km/h à 4400 tours/minute.

La boîte DCT nouvelle génération réalise quasiment le sans-faute mais la boîte mécanique qui offre une grande précision et qui est secondée par un levier d’embrayage d’une douceur " bluffante"  est elle aussi louée.

Ergonomie parfaite, tableau de bord complet et facile d’utilisation.

Très grande agilité de la moto, qui s’avère très équilibrée. Selle confortable et suspensions de qualité. Bulle non réglable mais très bien étudiée. L’essayeur de Moto Journal est conquis.

J’ai relevé une remarque de sa part : « la moto n’est pas là pour vous imposer son style de pilotage, son caractère mais, au contraire de tout faire pour vous permettre d’aller le plus simplement du monde là où vous désirez aller ». C’est vraiment ce que je recherche (entre autre) dans une moto et je me souviens de mon sentiment plus que mitigé au guidon de la MT 09 Tracer qui justement, au-delà de ses réelles qualités, m’imposait trop ma manière de conduire.

"Avec l’Africa Twin, pas de prise de tête. Juste le plaisir de rouler loin, longtemps, mais, surtout, souvent et simplement". Tout ce que j’aime !

Ce que je retiens de cet essai, c’est que l’Africa Twin nouvelle génération semble aussi facile à mener que ma Transalp mais qu’elle possède 45 chevaux de plus, un moteur coupleux et aussi économique, des freins fabuleux, un confort royal, un châssis et des suspension de grande qualité et qu’elle donne envie de rouler. Comment fait-on pour remplir un billet du loto ? J’aurais un achat en vue…..

Je profite de ce bref résumé de l’essai complet de Moto Journal pour dire que mon plaisir de lecteur a été plus intense en feuilletant ma revue qu’en lisant tous les autres essais que j’ai pu voir un peu avant sur internet. Toucher le papier, passer d’une page à l’autre, examiner à la loupe les photos publiées, tout cela a un goût inimitable que le meilleur site ne pourra reproduire.

Le contact physique avec ces quelques feuilles de papier génère une émotion que ne peut donner la lecture froide d’un écran. C’est pour cela que je suis un peu triste d’apprendre que mon hebdomadaire favori va passer d’une diffusion tous les jeudis à une diffusion un mercredi sur deux. Même s’il nous est promis un accès internet étoffé, je sens que je vais regretter de ne pas avoir à rendre visite, chaque semaine, à mon marchand de journaux. Snif !